Ascension et ADN

Nous avons déjà expliqué ce qu’il en est de l’Ascension transcendante, qui se présente comme un acte de transformation énergétique que peut opérer la personne qui est arrivée à un stade particulièrement élevé d’éveil de sa Divinité intérieure. Dans cette optique, l’élément significatif est l’éveil de la Divinité intérieure jusqu’à un niveau élevé, tandis que l’Ascension transcendante en est pour ainsi dire une conséquence. L’éveil de la Divinité intérieure relève du développement intérieur de l’Amour ou de la Joie (encore une fois, il s’agit de la même chose), et ce développement lui-même relève d’une pratique intérieure au sein de laquelle doit se déployer aussi bien l’enthousiasme que la volonté du Cœur. Bien que tout le monde ne soit pas en mesure de comprendre la nature énergétique et l’importance absolue de la Divinité intérieure… bien que tout le monde ne soit pas en mesure, pour diverses raisons, de s’investir avec tout l’enthousiasme et toute la volonté nécessaires dans le travail intérieur pour la réalisation de l’Eveil divin, il n’en demeure pas moins vrai que la démarche pour réaliser l’Eveil divin est ce que nous pouvons entreprendre de plus important dans notre existence. L’essentiel étant rappelé, nous allons aborder ici la question de l’Ascension relative en relation avec l’évolution neuro-génétique.

Nous utilisons l’expression « Ascension relative » pour désigner d’une manière générale toute forme d’Ascension autre que l’Ascension transcendante qui consacre la réalisation des niveaux supérieurs de l’Eveil divin. S’il est encore besoin de le rappeler (et il semble que ce soit nécessaire), l’Eveil divin se rapporte à l’éveil de l’étincelle de Transcendance dans le Cœur, et cela n’a rien à voir avec l’éveil psychologique, l’éveil extatique, l’ouverture des chakras, l’ouverture de l’extrasensitivité ou encore l’activation kundalinique… Il faut bien le dire, parmi les actuels enseignants spirituels « connus », bien peu sont des Eveillés divins. Et pour cause : le développement authentique de l’Amour ou de la Joie nécessite un travail intérieur associant à la fois la qualité et l’intensité, chose dont de nombreux courants spirituels inconséquents essaient de dissuader les gens. Et parmi les Eveillés divins actuels, peu sont parvenus au niveau où l’Ascension transcendante peut être effectuée. Cela signifie qu’ils quitteront le plan physique par la mort et non par l’Ascension transcendante au terme de leur incarnation.

L’Ascension relative est généralement octroyée de l’extérieur : par d’authentiques Maîtres ascensionnés (des foultitudes d’entités non-physiques prennent ce titre sans en être vraiment), par la technologie d’éthérisation des Frères éthériques, etc… Mais il y a une forme d’Ascension relative qui relève du pouvoir des individus eux-mêmes : c’est l’Ascension neuro-génétique. De quoi s’agit-il ? Pour le décrire succinctement, nous pouvons dire que quand l’évolution génétique a atteint un certain point conférant à l’individu un cerveau suffisamment puissant pour maîtriser le taux vibratoire du corps et le syntoniser puis le stabiliser définitivement sur des dimensions supérieures, cet individu est capable, par un exercice de sa puissance neuro-énergétique, d’éthériser son propre corps d’une manière définitive et permanente. C’est une chose qui est analogue à la possibilité qu’acquièrent certains êtres éthériques de se densifier par eux-mêmes, du fait de leur évolution neuro-énergétique ou neuro-génétique. Ces mêmes êtres éthériques qui peuvent se densifier peuvent aussi se hisser dans des dimensions qui sont plus subtiles que leur dimension de résidence. La dimension de résidence n’indique en rien le niveau d’évolution neuro-génétique, moral, psychologique ou spirituel, mais cela est un autre sujet.

Soyons un peu plus précis. Le cerveau (et lorsque nous disons cerveau, nous entendons en réalité cette structure synergique au sein de laquelle sont associés le cerveau physique, le cerveau énergétique et le cerveau psychique)… le cerveau possède un niveau de puissance neuro-énergétique naturel déterminé par le degré d’évolution de l’aspect de l’ADN qui commande aux caractéristiques capacitaires énergétiques et dynamiques dudit cerveau. Nous nous excusons si la phrase est un peu compliquée, mais il faut vraiment essayer de la comprendre avec cette formulation, et éviter autant que possible d’en déformer le sens en essayant de le ramener à ce que vous pensez connaître. Une partie seulement de l’ADN commande aux caractéristiques cérébrales, et juste pour nos besoins immédiats nous allons l’appeler ADN neuro-génétique.

Bien entendu nous parlons d’ADN physique, et non d’ADN « virtuel » (ce dernier est également appelé ADN « éthérique », ce qui pourrait prêter à confusion avec l’ADN « concret » d’un être éthérique). L’ADN virtuel est en quelque sorte un ADN non-cristallisé existant sous une forme énergétique « légère ». Cet ADN fluctue tout le temps, en fonction de moult facteurs, dont vos humeurs et vos pensées. Il est sans incidence significative sur votre ADN concret. Votre ADN virtuel peut avoir 12 spirales un beau matin, et revenir à 2 spirales trois mois plus tard, et à aucun moment de ce processus cela n’aura eu d’impact significatif sur votre niveau neuro-énergétique ou sur votre niveau bioénergétique. L’ADN virtuel est beaucoup plus un écran à échelle cellulaire reflétant votre état psychologique, qu’un élément moteur susceptible de produire des variations significatives dans votre évolution neuro-énergétique ou bioénergétique. En utilisant des techniques qui se ramènent en définitive à quelque variation sophistiquée des techniques de pensée positive ou de visualisation, l’ADN sur lequel vous pouvez agir c’est votre ADN virtuel. Par contre ces mêmes techniques ont une action psychosomatique notable et mesurable, mais c’est là autre chose qu’une action sur l’ADN concret.

Revenons au cerveau… Sur une échelle de puissance neuro-énergétique allant par exemple de 0 à 100, disons que l’Ascension neuro-énergétique est réalisable à partir d’un niveau de puissance égal ou supérieur à 80. Sur une telle échelle, le niveau neuro-énergétique d’un terrien ordinaire (en bonne santé physique et mentale) est de 10. Faisons concorder cette échelle avec ce qui serait une échelle d’évolution neuro-génétique. Cela signifie que sur une échelle neuro-génétique allant de 0 à 100, le niveau d’évolution neuro-génétique de l’humanité terrestre est de 10. La valeur 80 étant la valeur à partir de laquelle un être physique est capable de réaliser l’Ascension neuro-énergétique. Ceci peut sembler un tout petit peu compliqué, mais c’est en même temps l’une des manières les plus simples de dire les choses. Le niveau d’évolution neuro-génétique n’a pas de rapport direct avec le nombre de spirales dans l’ADN concret, pas plus qu’il n’a de rapport nécessaire avec le nombre de chromosomes dans la cellule… C’est dans l’équation spécifique ADN/cerveau que se trouvent les données nécessaires pour définir avec quelque précision ce que peut bien signifier un « niveau neuro-génétique ».

Une personne dont le niveau neuro-génétique est de 10, a une puissance neuro-énergétique moyenne de 10. C’est une moyenne. Par le fait de quelques particularités génétiques certaines personnes auront « naturellement » une puissance neuro-énergétique de 11 ou 12… Comment cela se traduit-il du point de vue des capacités neuro-énergétiques ? C’est un peu subtil… La puissance neuro-énergétique comporte au moins deux grands aspects : la capacité neurocognitive, et la capacité neurodynamique. La capacité neurocognitive concerne d’une manière globale la fonction de cognition : capacité d’intuition rationnelle, capacité d’imagination rationnelle, capacité de raisonnement, capacité d’inférence, capacité d’analyse, capacité de mémorisation… La capacité neurodynamique concerne d’une manière globale la fonction de maniement des énergies : capacité à agir sur les taux vibratoires (la lévitation en est un aspect), capacité à manier des structures énergétiques (la télékinésie en est un aspect), capacité à manier des flux énergétiques, capacité à manier des ondes énergétiques (la télépathie en est un aspect), capacité à manier des champs énergétiques…

Une personne dont le niveau neuro-énergétique est de 12 par exemple, aura un niveau de puissance neuro-énergétique plus élevé. Cela signifie qu’elle aura une capacité neurocognitive et une capacité neurodynamique plus élevées. Pour des raisons relativement complexes, cette personne aura cependant une orientation dominante. Si son orientation est par exemple cognitive, elle apparaîtra comme ayant des capacités intellectuelles ou des capacités artistiques « surdouées ». Mais ce sera là une simple dominante, c’est le niveau de puissance neuro-énergétique qui est élevé d’une manière générale. Ceci étant, du fait des phénomènes et des caractéristiques neurologiques complexes, une personne ayant un niveau neuro-énergétique de 10 peut par ailleurs présenter des aptitudes intellectuelles ou artistiques « surdouées ». Les autistes dits de haut niveau sont des exemples de personnes dont l’ensemble neuro-énergétique est moins élevé que la moyenne (valeur 9 ou 8), mais dont certaines fonctions assez spécialisées sont très supérieures à la moyenne. Des cas de surdouances spécialisées, se déployant ou pas sur un terrain neurologique plus ou moins pathologique, montrent que les caractéristiques neuro-énergétiques sont complexes. Le modèle que nous en donnons ici concerne seulement le cas particulier d’une évolution saine et équilibrée de l’ensemble du substrat neuro-énergétique…

Ce n’est pas parce qu’une personne aura un QI de 150 qu’il s’agira nécessairement d’une personne ayant un niveau neuro-énergétique supérieur à 10. Mais dans l’autre sens, une personne de niveau neuro-énergétique égal par exemple à 11, aura entre autre un QI supérieur à 145… mais il aura aussi en même temps des capacités de télépathie, de télékinésie, de projection psychique, etc… assez significatives. Peut-être pourrait-on donner une image un peu plus explicite de ce que signifient les différents niveaux neuro-génétiques. Prenons par exemple la capacité spécifique de télékinésie, qui n’est pas juste la possibilité de déplacer un objet, mais aussi d’agir sur sa structure moléculaire et atomique. Une personne de niveau neuro-énergétique 10 sera incapable de déplacer une pomme par télékinésie. Si vous êtes de niveau neuro-énergétique 10, peu importe par ailleurs vos aptitudes de perception extrasensorielle qui dépendent plus de l’état de vos membranes subtiles que du développement de votre substrat neuro-énergétique… donc si vous êtes à ce stade, vous pourrez faire ou non-faire tout ce que vous voudrez, la pomme restera là où elle est. Excepté bien entendu si vous recourez à des formes avancées de transe auto-hypnotique… Une personne de niveau neuro-énergétique 20 sera capable de faire léviter la pomme quasiment sans effort, de la rendre plus massive, plus légère, plus chaude, plus froide, de la dessécher, etc. Une personne de niveau neuro-énergétique 40 sera capable en un battement de cil de faire disparaître la pomme et de la téléporter dans une autre dimension ou dans un autre lieu. Et une personne de niveau neuro-énergétique 60 sera capable, quasiment sans effort, de modifier la composition moléculaire et atomique de la pomme, et de la transformer par exemple en orange ou en mangue, ou en lingot d’or… Considérées depuis un niveau neuro-énergétique de 10, ces choses peuvent paraître absolument incroyables… mais les mêmes choses sont facilement faisables à des niveaux neuro-énergétiques supérieurs.

Quand on se situe au niveau neuro-génétique 10, notre niveau neuro-énergétique de base est de 10. Mais quelqu’un qui pratique des techniques de développement psychique appropriées peut, sans rien modifier de son ADN neuro-génétique, atteindre un niveau neuro-énergétique de 15 ou 20. Le niveau neuro-génétique impose une valeur de base pour le niveau neuro-énergétique, mais cette valeur peut être augmentée par un travail adapté. La même chose peut être obtenue à partir de certaines technologies neuro-énergétiques ou de certains breuvages neurodynamiques. Outre la valeur de base, un niveau neuro-génétique donné impose aussi un plafond, et en l’occurrence une personne dont le niveau neuro-génétique est de 10, ne peut pas augmenter son niveau neuro-énergétique au-delà de 20 environ. Pour dépasser ce plafond, la personne doit induire un saut évolutif dans son ADN neuro-génétique, et donc faire en sorte d’atteindre un nouveau niveau neuro-génétique.

Les niveaux neuro-génétiques sont discontinus, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas prendre toutes les valeurs continues entre 0 et 100, ils peuvent seulement prendre certaines valeurs. Rappelons que nous nous situons toujours sur l’échelle hypothétique que nous avons stipulée plus haut. Dans cette échelle, la valeur minimale du niveau neuro-génétique est de 5, et à partir de là les différentes valeurs que peut prendre le niveau d’évolution de l’ADN neuro-génétique sont des multiples de 5. Ainsi, si vous vous situez au niveau neuro-génétique 10, et si vous évoluez d’un palier, votre prochaine valeur sera de 15. A cette valeur, par exemple, la lévitation d’une pomme vous sera possible, mais nonobstant quand même un petit effort de concentration… Vous ne serez capable de réaliser l’Ascension neuro-énergétique que lorsque vous aurez évolué au moins jusqu’au niveau neuro-énergétique 80. Et si on parle d’Ascension neuro-génétique collective (collective à l’ensemble de l’humanité), cela signifie que quasiment tout le monde doit être parvenu au niveau neuro-génétique 80. A partir de là, on peut poser plusieurs questions. Comment se réalise un saut évolutif dans l’ADN neuro-génétique ? Existe-t-il au sein de l’humanité des personnes vivant des sauts évolutifs neuro-génétiques ? Existe-t-il au sein de l’humanité des personnes ayant un niveau neuro-génétique supérieur à 10 ? Existe-t-il une relation entre tout cela et la vision académique de l’évolution des espèces ? S’il y a un processus naturel d’évolution neuro-génétique, quels sont les facteurs moteurs de ce processus, et dans combien de temps ce processus nous mènera-t-il au niveau requis pour pouvoir réaliser une Ascension neuro-génétique collective ? Que pouvons-nous faire pour favoriser la survenue en nous-mêmes d’un saut évolutif neuro-génétique ?

Certaines de ces questions sont plutôt techniques, et il est impossible d’y répondre avec précision sans étudier certains détails des mécanismes de la mutation génétique. Quelques autres questions peuvent se satisfaire d’une réponse évoquant simplement des lignes directrices. Des mutations génétiques pathologiques, il s’en produit régulièrement. Mais existe-t-il des mutants évolués à l’heure actuelle au sein de l’humanité ? Et si oui, quelle est leur origine ? Dans le new-age, c’est-à-dire dans cette forme de spiritualité qui se base principalement sur le channeling et le prend relativement au premier degré (c’est-à-dire qui admet, à quelques exceptions ou quelques préférences près, que le channeling relaie véritablement des messages et des enseignements issus de Dieu, de Maîtres ascensionnés et d’Êtres cosmiques authentiques et d’une totale et pure bonne foi)… dans le new-age il n’est pas rare de voir des gens qui témoignent vivre des transformations dans leur ADN, qui disent que des hélices, des spirales, des codons… se sont ajoutés ou se sont activés dans leur ADN…

Ces pseudo-transformations, plutôt que d’aboutir à une élévation significative de leur niveau neuro-énergétique, débouchent la plupart du temps sur des pathologies plus ou moins importantes : pertes de mémoire, saignements nasaux, maux de tête, gastro-entérites, mal de dos, troubles sensoriels, bouffées de chaleur, diarrhées, épisodes récurrents de dépression, états de fatigue pathologique, etc… Ces pathologies ou ces symptômes sont généralement des somatisations négatives dues à diverses choses : abus de l’ordinateur, mauvaise alimentation, surexposition aux ondes électromagnétiques délétères, allergies non-identifiées, etc… Plutôt que de devenir des mutants évolués, la plupart des personnes qui cumulent plusieurs de ces symptômes d’une manière récurrente présentent de forts risques de développer diverses formes de dégénérescence… D’une manière générale, leur horizon dans l’incarnation est le même que celui des personnes qui ne témoignent pas de ces pseudo-transformations ascensionnelles, à savoir : limitations ordinaires d’un niveau neuro-génétique 10, avec pour cadre la maladie, la vieillesse et la mort.

Existe-t-il des mutants évolués actuellement dans le monde ? La réponse est oui, il existe des individus qui sont nés avec un niveau neuro-génétique de 15 ou 20, du simple fait des mécanismes aléatoires naturels des mutations génétiques automatiques. Mais ces mutations positives ne concernent qu’une infime fraction de l’humanité, environ 100 à 1000 personnes chaque siècle (et encore ces chiffres sont donnés ici selon leurs valeurs les plus élevées, la réalité ne supporte probablement pas plus de quelques individus mutants par siècle). Des caractéristiques complexes relatives à la stabilité génétique de l’ensemble de l’espèce font que ces mutations évoluées ont tendance à se réabsorber et donc à se diluer, c’est-à-dire à disparaître dans les générations qui descendent des unions entre mutants évolués et personnes ordinaires. Lorsqu’il s’agit d’envisager la mutation évolutive de toute une espèce, comme par exemple le passage qui s’est effectué du singe à l’homme (pour le dire ainsi), le hasard aveugle et l’hypothèse insuffisante de la sélection naturelle doivent céder la place à la mise en œuvre d’un ensemble de facteurs coordonnés…

L’humanité terrestre est-elle sur le point de connaître un saut évolutif neuro-génétique ? Certains individus sont-ils en train de vivre une mutation évolutive ? Des cas de naissances d’enfants mutants évolués se multiplient-ils au-delà des simples normes statistiques ? Quels facteurs faut-il mettre en œuvre pour susciter une mutation neuro-génétique évolutive chez un individu adulte ? Et qu’en est-il lorsqu’il s’agit de générer un enfant mutant à partir de parents ordinaires ? Tout d’abord, il n’existe aucun élément pouvant permettre de conclure avec certitude que l’humanité est en train de vive un saut évolutif. Certes, il y a des modifications dans les paradigmes politiques (l’émergence de la pensée écologique par exemple), l’apparition de nouvelles technologies (la révolution internet par exemple), l’amélioration des records du monde (qui vont bientôt buter contre le mur des limitations physiologiques), l’élargissement des connaissances scientifiques (la naissance de la physique quantique par exemple), etc… mais ces transformations sociotechniques et ces variations psychoculturelles participent du jeu naturel de la vie « ordinaire », et rien n’indique que l’humanité est en train de se transformer « neuro-génétiquement ».

Ce qui peut indiquer une transformation neuro-génétique collective se serait : soit le fait de voir de plus en plus de gens devenir des mutants ; soit le fait de voir naître de plus en plus d’enfants mutants. Quand une personne mute pour passer à un niveau neuro-génétique plus élevé, cela ne prend pas des « plombes ». Si un enfant est un mutant évolué, ses aptitudes supra-ordinaires vont se manifester spontanément une fois passé les trois premières années… Et plus la mutation est évoluée, plus les aptitudes se manifestent tôt. Chez une personne qui n’est pas née mutante, le processus de la mutation peut prendre plusieurs mois s’il est très lent… Une pseudo-mutation évolutive qui traînerait sur des années n’en est pas une. Par contre, en supposant que la mutation se fasse avec des moyens insuffisamment puissants pour vaincre certains obstacles, le processus de préparation à travers lequel l’individu peut être amené à un état bioénergétique convenable, est un processus qui peut prendre plusieurs années. Mais cela n’a rien d’une condition absolue. Moins la force évolutive qui va s’appliquer pour opérer le saut évolutif est grande, plus il est besoin de satisfaire à certaines conditions bioénergétiques et biopsychologiques pour que l’application de cette force puisse générer la mutation. La dite force évolutive peut être un champ énergétique, un champ de forces, un ensemble de flux de rayonnements énergétiques, une substance micro-organique, une substance chimique, etc…

D’une manière générale, plus la structure bioénergétique et biopsychologique est saine, plus l’individu sera susceptible de muter rapidement si on lui applique une force évolutive adéquate. Dans l’autre sens : plus la force évolutive à laquelle on peut recourir est puissante, moins il y a besoin de préparation au niveau des conditions bioénergétiques et biopsychologiques. L’humanité est conçue pour vivre dans un certain équilibre neuro-génétique, ce qui signifie que si aucune force évolutive particulière n’est appliquée, aucun saut évolutif n’aura lieu malgré des mutations aléatoires aussi bien positives que négatives. En fonction de la force évolutive que l’on appliquerait sur elle, l’humanité peut atteindre le niveau neuro-génétique 80 ou au-delà, c’est-à-dire le niveau requis pour réaliser l’Ascension neuro-génétique, dans trois mois, dans dix ans, dans trois siècles, ou dans six-cent mille ans… Existe-t-il une force évolutive naturelle qui pourrait s’appliquer spontanément en fonction par exemple de cycles planétaires ou cosmiques ? En fait, certains faisceaux de rayonnements et certaines caractéristiques des champs énergétiques du soleil et du noyau planétaire produisent d’une manière plus ou moins cyclique des pics énergétiques très particuliers sur la planète. C’est au moment de ces pics énergétiques que s’exerce sur les espèces une pression évolutive qui peut aboutir, dans la mesure des conditions bioénergétiques de l’espèce, à un saut évolutif. Et s’il faut seulement quelques mois pour qu’un certain pourcentage de l’espèce devienne des mutants, il faut parfois plusieurs centaines d’années, voire plusieurs milliers d’années, pour que l’ensemble de l’espèce soit transformée, et cela dépend du pourcentage initial d’individus ayant mutés ainsi que du niveau de cette mutation. Est-ce que nous nous acheminons vers un tel pic énergétique planétaire ? Non, malgré les apparences.

Parmi toutes les formes de puissance agissante qui peuvent intervenir comme force évolutive, notons spécialement l’énergie collective des Eveillés divins. En recourant à la puissance énergétique de sa propre Divinité intérieure éveillée, un Eveillé divin est capable d’induire dans son ADN tout ce qu’il voudra comme saut évolutif. Et il peut faire de même chez quelqu’un d’autre. Pour lui-même, l’Eveillé divin sait que tout ce qui importe c’est la Puissance, la Liberté et la Joie transcendantes qui se déploient de sa Divinité intérieure éveillée. Pour les autres, l’Eveillé divin est pleinement conscient que ce qu’une personne peut rechercher de vraiment important c’est simplement l’éveil de sa propre Divinité intérieure. Mais à supposer que les Eveillés divins « rattachés » à la Terre soient suffisamment nombreux, et à supposer que cela devienne nécessaire afin de sauver au sein de l’humanité cette précieuse possibilité de travailler au développement intérieur de l’Amour et de la Joie, les Eveillés divins pourraient en effet appliquer leur puissance énergétique afin de générer un saut évolutif neuro-génétique au sein de l’humanité. En définitive, la seule chose qui importe réellement c’est de cultiver l’Amour. En faisant cela, vous éveillerez votre Divinité intérieure, à l’instant même, dans dix ans ou dans dix mille ans, cela dépend essentiellement de la qualité, de la justesse et de l’intensité de votre travail intérieur.

Y a-t-il des Ascensions planétaires ? C’est-à-dire des Ascensions impliquant le passage intégral d’une planète physique dans un état éthérique ? La seule chose que nous puissions dire c’est qu’il existe des humanités ascensionnées, d’anciens êtres physiques qui ont connu une Ascension relative. Aussi loin que nous ayons pu regarder dans les annales akashiques, ce dont témoignent les archives akashiques se rapporte : à des groupes d’êtres ayant atteint un niveau d’évolution neuro-génétique tellement avancé qu’ils ont été capables de s’éthériser eux-mêmes (Ascension relative) ; à des Eveillés divins ayant atteint un niveau d’Eveil divin tellement élevé qu’ils ont été capables de se sublimer en pure lumière (Ascension transcendante) ; à des Maîtres divins qui, au moment de leur Ascension transcendante, ont en même temps éthérisé des groupes dont ils étaient les « responsables » (Ascension relative pour les individus de ces groupes) ; à des groupes qui ont développé une technologie d’éthérisation qu’ils se sont appliqués à eux-mêmes (Ascension relative)… Il y a l’Ascension transcendante, et il y a des Ascensions relatives. Mais ce qui compte vraiment, c’est l’Eveil divin, et c’est l’Amour qui en est la Clé.

Kessani et Chris Iwen

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